Archive de la catégorie ‘références’
L’innovation comme positionnement stratégique
Posté par Cathy D. | dans références, travaux en cours
Le CNES est depuis sa création une agence portée vers l’innovation. L’espace comme nouvelle frontière sans référence obligeait à inventer des technologies, à construire des compétences, à affronter l’inconnu. Cela suffit-il pour que 40 ans après l’agence reste porteuse d’innovation ? A bien y regarder, tout s’oppose à l’innovation. L’espace est un univers hostile, les […]
Faire en sorte que les gens s’approprient la stratégie .
Posté par Cathy D. | dans références
Au démarrage, en 2006, la question est venue du responsable de la communication interne « A priori on est sorti des turbulences pour un moment. Nous avons un contrat d’objectifs et de moyens qui cadre l’action pour les cinq à venir et les gens sont inquiets, ne voit pas la stratégie. Le problème en fait, est […]
La place des acteurs dans la dynamique de l’entreprise
Posté par Cathy D. | dans références
La notion de mouvement permet mieux de saisir ce qui se vit et ce qui est douloureux pour une partie des personnes dans leur travail. Comme l’a très bien montré Isabelle Ferreras dans son livre Critique politique du travail paru aux Presses de SciencesPo, même la plus absurde des activités représente pour ceux qu’elle mobilise […]
Management du changement ou changement du management ?
Posté par Cathy D. | dans références
La transformation des organisations occupe un grand nombre de consultants, de dirigeants et de managers ; le changement, en anglais « Change », fait couler beaucoup d’encre, sature les réunions et les plans d’action. Depuis 25 ans que j’interviens dans l’univers des organisations, le thème semble garder son intensité. Et pourtant, insensiblement, émerge la mise en question […]
L’entreprise, société humaine vivante.
Posté par Cathy D. | dans références
La notion de mouvement valorise la temporalité comme durée là où le changement relève plutôt d’une problématique de gestion d’agenda, d’aspect et de variation d’aspect entre deux états ; nous proposons de réintroduire la durée comme relation au monde, comme expérience perceptive et émotionnelle vécue par des personnes agissant dans un contexte social et historique, pour rendre compte du mouvement en train de se faire.